aujourd'hui j'ai voulu vous parlez des problemes des banlieues...un endroit que j'aime tropp et que je refuse quand traîte ses habitants d'une façon si atroce...eh oui ils sont marginalisés mais abuséééé!!!
la banlieue en question est celle du 93 ( seine saint denis) trop connue et c'est de la bas comme d'autres régions parisiennes ,que le rap français a fé le départ , et c'est la bas ou les banlieusards sont trop mal vu...
donc je commence , le dossier n'est qu'un copier coller , j'avais la flemme d'ecrire le tout à ma façon j'ai préféré qu'il vous soit transmi tel qu'il est:
L’appel des 93 est pour moi une évidence. Si on veut que ça change et que ça bouge, il faut forcément s’engager. C’est ma posture dans la vie. Et ce département en terme de combativité me correspond bien. C’est un département où se trouvent concentrés des gens en grande difficulté, mais qui malgré tout résistent, par rapport à l’école, par rapport aux grandes questions de société. Et tout ça, ce n’est pas dans l’air du temps. Tout est bon pour nous tirer 30 ans en arrière. Les médias sont à la botte de cet état central foncièrement réactionnaire qui mène une politique rétrograde allant à l’encontre du progrès. Alors, il y a de quoi s’engager. Il y a de quoi se battre. Depuis deux ans et demi au niveau des travailleurs sociaux, on a constitué une “coordination des travailleurs sociaux pour le droit au logement pour tous” face à notre impossibilité d’accéder à l’une de nos missions qui est de permettre aux gens d’avoir un logement. On a pas mal ramé pour faire entendre qu’en aucun cas, les expulsions ne pouvaient être une solution. D’autant que les gens atterrissent ensuite dans nos bureaux et que nous n’avons rien à leur proposer compte-tenu de la conjoncture actuelle. Avec les collègues, on s’est dit qu’il fallait arrêter d’être des exécutants si ça va à l’encontre de nos missions. On est complètement dans notre rôle, en disant que là ce n’est plus possible. Vous recevez des gens qui pensent s’adresser à vous pour que vous les aidiez et vous êtes là à pleurer en disant : “Je n’ai aucun moyen, je ne peux rien faire.” Je caricature à l’extrême volontairement. Vous montez un dossier pour obtenir un fonds de solidarité logement et vous attendez 1, 2, 3, 4 ans en voyant la situation de la famille se dégrader sous vos yeux, complètement impuissant. Entre temps vous essayez de trouver des solutions d’hébergement que vous ne trouvez pas. Il n’y a plus rien. Vous pétez les plombs. Face à ça on est obligé de réagir, on n’a pas le choix. »
Pouvez-vous me donner cinq noms de personnes, anonyme ou personnalité, vivante ou décédée, auxquels vous rattachez la Seine-Saint-Denis ? Yasmine Kaci, Dominique Vilaine, Hélène Estrella, Martine Chauvet et Keltoum Brakma, cinq collègues qui sont membres de la coordination des travailleurs sociaux pour le droit au logement pour tous du 93.
Cinq adjectifs ?Combatif, créatif, coloré, jeune et résistant au sens féminin du terme.
Par quel petit nom appelez-vous ce département ?Quatre-vingt-treize.
Comment y êtes-vous venue ?Par hasard dans les années 80 pour y habiter et ensuite j’ai fait le choix d’y travailler.
...
donc voilà le sujet s'arrete là , j'espere que vous prenez en considération ce que l'auteur a voulu faire comprendre aux gens , et que les blédards ne se précipitent pas pour aller vivre à l'etranger , y compri la FRANCE...
zineb imane 
الأحد 26 نوفمبر - 12:01